« Dans ce monde où il n’est d’autre lumière qu’artificielle, le cliché n’est lui aussi qu’artifice, que façade. Ce qui intéresse Noon, ce sont les failles des individus et du monde, qui se répondent en écho. Rien de démonstratif, rien d’appuyé : comme une petite musique lancinante, qui d’un bout à l’autre ne s’arrêtera jamais. »
Pour lire la chronique d’Hilaire d’Alrune sur Un homme d’ombres sur la Yozone, c’est par ici !
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