Le Déchronologue

Roman 
Littératures de l’imaginaire

L’argumentaire du livre

Illustration de couverture
par Corinne Billon

Parution le 2 mai 2024
Broché – 420 pages – 22 €
ISBN : 978-2-37049-248-7

Maquette et caractères typographique pour l’intérieur: Laure Afchain

Première parution le 12/03/09

Le Déchronologue

Stéphane Beauverger

La nuit sucrée de Port-Margot exhalait le printemps caraïbe, le fer et le sang.

Juin 1640 : en quittant Port-Margot, havre français perdu au milieu d’une mer espagnole, Henri Villon, capitaine du brigantin Chronos, part donner la chasse à un galion spaniard. Son but : une maravilla, une des merveilles secrètes, si rares, qui apparaissent quelquefois aux confins du nouveau monde. À bord du navire, un ballot d’échoués forme l’équipage : le bosco, dit Le Cierge, le mousse, dit La Crevette, les frères Mayenne qui font office d’égorgeurs, ainsi que le maître canonnier Vent-Calme, chacun à part, tous fidèles au rêve de leur capitaine.

Mais le rêve se brise soudain quand le commodore Mendoza, la terreur des flibustiers caribéens, envoie le Chronos par le fond. Quelques instants avant que ne sombrent son destin et son navire, Henri Villon a le temps d’apercevoir une chose impensable, digne des plus vieilles histoires qui hantent l’âme des marins : un Léviathan de fer glissant dans l’orage, capable de cracher la foudre et d’abattre la mort.
Le Déchronologue mêle genres et époques, galions et paradoxes temporels, parler des îles et imaginaire de science-fiction. Avec ce récit plusieurs fois primé, Stéphane Beauverger ose l’aventure extraordinaire d’une uchronie pirate.

« Stéphane Beauverger nous fait vivre les aventures d’un pirate des Caraïbes avec autant d’efficacité que Stevenson dans L’Île au trésor, tout en les situant dans un cadre uchronique original. »

L’ouvrage aux cinq prix  !

  • Le Prix européen Utopiales 2009
  • Le Grand Prix de l’Imaginaire 2010
  • Le Nouveau Grand Prix de la Science-Fiction française (Prix du lundi) 2010
  • Le Prix Bob Morane 2010
  • Le Prix Imaginales des Lycéens 2012

« Grand roman de piraterie, Le Déchronologue pillera sans doute possible vos heures de détente avec une aisance et une friponnerie telles qu’il vous faudra bien admettre qu’il s’agit là d’une merveille, unique et anachronique, fruit du travail d’un auteur peu scrupuleux qui fait déjà partie des grands. Un forfait ignoble et abject qu’il convient de lire à tout prix…

Incontournable ! »

Librairie Critic, Rennes

« Le Déchronologue est un mélange détonnant de jongleries temporelles chères à Tim Powers et d’aventures maritimes. »

 – Bifrost

« En résumé, nous tenons là un exceptionnel récit  d’aventures, mêlé à une histoire de guerre temporelle  présentée de manière originale et splendidement  lacunaire, servi par une écriture impeccable au souffle  puissant, doublé d’un exercice de style maîtrisé et  réussi… Qu’espérer de mieux ?  Si vous n’aimez pas les critiques trop longues, ne  retenez qu’une chose : Le Déchronologue est le meilleur roman que vous lirez cette année. »

NooSFere

« Le scénario est extrêmement prenant. […] On y  trouve aussi bien des magouilles politiques que des  combats, des batailles navales ou des chasses au  trésor : tous les éléments sont réunis pour en faire un  excellent roman de pirates. »

eMaginarock

Stéphane Beauverger

Né en 1969, Stéphane Beauverger vit aujourd’hui en Bretagne, dans le pays du Léon.
Journaliste de formation, il rencontre Pierre Christin, le talentueux scénariste de Bilal et Mézières, qui sera son professeur.
Il se consacre à l’écriture de jeux vidéo pour DONTNOD et a notamment été distingué pour Tell Me Why en 2021 par plusieurs prix et une nomination au BAFTA – équivalent des Oscars pour le jeu vidéo. La Volte a publié ses cinq romans, soit la trilogie Chromozone (2005-2006), Le Déchronologue (2009) et Collisions par temps calme (2021). La parution du Déchronologue a
été un événement, à tel point qu’il a remporté
cinq prix : le Grand Prix de l’Imaginaire, le prix Bob Morane, le prix Utopiales, le prix Imaginales des lycéens et le prix du Lundi de la SF.

La Volte