📍Librairie Le Divan, 203 Rue de la Convention, 75015 Paris
📆 Vendredi 18 octobre à 19h

À l’occasion des 20 ans de La Volte et du Mois de l’Imaginaire mettant en lumière les littératures du même nom, une rencontre est organisée à la librairie Le Divan avec Bombyx Mori, collectif à l’origine de La Trame, et Mathias Echenay, fondateur, éditeur et animateur de La Volte. Une exposition sur l’histoire éditoriale de La Volte accompagnera l’événement.

Librairie Le Divan :
La Librairie Le Divan, située à Paris, est une institution littéraire emblématique, fondée en 1983 dans le 15ème arrondissement. Connue pour son ambiance chaleureuse et son large choix de livres, elle propose une vaste sélection allant de la littérature générale aux ouvrages spécialisés, en passant par les livres jeunesse et les bandes dessinées. Elle accueille également des événements littéraires, comme des rencontres avec des auteurs, faisant de cet espace un lieu de culture et d’échanges pour les amateurs de lecture.

Bombyx Mori Collectif :
Le Bombyx Mori Collectif rassemble quatre jeunes auteurs qui se sont rencontrés à Lyon, à 18 ans, au hasard de leurs études littéraires, de quelques combats de Street Fighter et d’une bouteille de Caol Ila. Quand ils n’ont pas leurs quatre têtes dans le guidon, dans les livres, les lignes de code ou l’étamine d’une euphorbe, ils écrivent ensemble. Depuis 2015, ils s’attachent à construire, brique après brique, texte après texte, le monde de Léria, au fil de courts récits et de novellas qui explorent les différentes régions, époques et histoires de cet univers fictionnel battu par les marées vertes.
Écrit à quatre mains et huit pieds, La Trame est leur premier récit publié.

Un mot des éditeurs avant de les rencontrer :
– Je m’appelle Mathias Echenay, j’ai 56 ans et je suis passionné de littérature, je veux changer le monde et lutter contre la barbarie. Du coup avec ces ambitions, j’ai tendance à être pénible …

– Je suis Nay Al Askar et en plus d’être votre couteau suisse préféré, je suis numéro 2 de La Volte. Au début, je trouvais ça très stylé à dire mais en fait, on est que deux, donc c’est pas si stylé.

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