PAIDEIA
MON CORPS, MON CHOIX.
UN ROMAN DE SCIENCE-FICTION À REBOURS DES CODES DU GENRE.
Paideia : du grec ancien, éducation et instruction de la perfection et de l’excellence visant à former les meilleurs citoyens, à même de créer la cité idéale.
Dix petites filles dans dix stations en orbite autour de la Lune, derniers espoirs de l’humanité morte sur une Terre empoisonnée.
À l’instar d’un classique de la SF spatiale, tout commence comme une renaissance triomphante du projet humain mais au final, rien ne se passe comme prévu.
Parce que l’une d’elles rêve d’arpenter les planètes, qu’elle est le souffre-douleur des autres, et surtout parce qu’elle est moins intelligente (4,2 seulement sur l’échelle de Breuil-Rostocka alors que les autres sont 4,5 ou 4,6). Ainsi, pour se faire accepter de ses condisciples, elle relève un défi stupide et découvre ce qu’on leur cache : leur destin de futures mères de l’humanité, sur la Lune terraformée, où elles passeront toute leur existence.
CE PREMIER ROMAN PREND À REBOURS LES FICTIONS DE LA CONQUÊTE SPATIALE, DE LA FABRICATION DE L’ÉLITE, ET JOUE AVEC LA QUESTION DU LIBRE ARBITRE : L’INDIVIDU DISPOSANT DE SON CORPS ET DE SA VIE FACE À LA SURVIE DE SA PROPRE ESPÈCE. VALONS-NOUS PLUS QUE LA SOMME DE NOS GÈNES ?
« Adieu Mars et la conquête des planètes ! » On n’envoie pas une gamine enceinte dans l’espace criblé de radiations cosmiques… Alors elle voit rouge. Mais comment agir depuis sa boîte de conserve, seule au milieu du vide ? Où peut-elle aller quand la Terre irradie de poison ? Qui rallier à sa cause ?