CHROMOZONE

Chromozone est un virus militaire qui dévasta le monde il y a quinze ans. Les hommes se sont depuis repliés en micro-communautés ethnico-politico fumeuses, au sein de leurs conforteresses.

Les grands consortiums refont surface et parmi eux ZENTECH, prêt à tout pour exploiter ses nouveaux protocoles de communication. À l’abri dans leurs laboratoires et leurs citadelles modernes, chercheurs et financiers affirment avoir trouvé le moyen de rendre aux sociétés désemparées le confort d’antan.

Mais une sauvagerie sans nom gagne les hommes, les précipite vers un chaos absolu : Il n’y a plus de place en ce monde pour la bêtise…

Revue de presse

« Chromozone surprend et tranche nettement avec la production habituelle. A lire absolument. »

– NooSFere

« Dans tous les cas, il faut souligner la dimension politique du roman Chromozone qui, à la manière du virus éponyme, distille via les pupilles son bouquet d’aromates anarcho-compulsives. Les personnes sont là pour travailler l’empathie, les scènes d’ultra-violence pour faire tomber nos défenses immuno-critiques, le talent stylistique pour gonfler la rythmique et finir d’emporter le lecteur dans la zone du post-moral. »

– Les Chroniques de l'Imaginaire

« Son premier roman est un surprenant mélange de polar cyberpunk, tendance postapocalyptique avec un soupçon d’horreur qui ne laisse pas le lecteur indifférent… »

– Fnac

STÉPHANE BEAUVERGER a aussi écrit

Aux éditions la Volte

LES NOCTIVORES

LA CITÉ NYMPHALE

LE DÉCHRONOLOGUE

OUVRAGE COLLECTIF

CEUX QUI NOUS VEULENT DU BIEN

OUVRAGE COLLECTIF

LE JARDIN SCHIZOLOGIQUE

OUVRAGE COLLECTIF

FAITES DEMI-TOUR DÈS QUE POSSIBLE

OUVRAGE COLLECTIF

AU BAL DES ACTIFS. DEMAIN, LE TRAVAIL

COLLISIONS PAR TEMPS CALME

OUVRAGE COLLECTIF

V. VINGT ANS DE VOLTE

Théâtre des opérations [inLa Guerre,Éditions Hydromel]
Chromozone [Gallimard, Folio SF]
La Cité nymphale [Gallimard, Folio SF]
Les Noctivores [Gallimard, Folio SF]
Nécrolympia [Panini Éditions]
Quartier M [Éditions Dupuis]
Appel d’Air [collectif, Éditions ActuSF]
Eddy Merckx n’est jamais allé à Vérone [Éditions ActuSF]