Porté par une plume à la fois pleine de rage et de poésie, Melmoth furieux a séduit bon nombre de lecteurs et de lectrices. Un amour pour ce roman signé par Sabrina Calvo qui fait finalement écho aux mots doux de la presse et des libraires, condensés par La Volte ici pour vous. Un grand merci à toutes et à tous !

LA PRESSE

✨ « L’étoffe dont on fait les songes est aussi le drap de la révolution à partir duquel se coud le récit, multipliant les effets de moirage, un vrai travail de dentellière, tissé loin des normes académiques, dans une langue poétique, inventive et extravagante, comme le serait la combinaison de l’organdi et du taffetas, avec des effets tantôt rugueux, tantôt satinés. […] Sabrina Calvo n’est jamais aussi belle et pertinente que quand elle est en colère. Son Melmoth furieux est un petit chef-d’œuvre qui apprend à s’opposer pacifiquement, intelligemment et avec style. »

GALAXIES

✨ « La réussite du roman tient beaucoup dans l’incroyable poésie punk de son héroïne fashionista, à ses tenues, aux robes chatoyantes qu’elle réalise, à des passages sublimes sur le rapport du corps à la matière, au façonnage. A cet atelier collectif qui recompose les tissus pour en pavoiser les rues bellevilloises. Il y a ce permanent corps à corps de Fi avec l’aiguille et les étoffes, et même avec les vivants, quasiment une métaphysique. »

LIBÉRATION

✨ « Débordant donc, comme la langue poétique, argotique et punk- rock que déploie Sabrina Calvo dans ce récit inclassable, tantôt  polardeux, tantôt érudit, tantôt fantastique, mais effectivement  furieux, avec cette presque folle et son armée d’enfants à l’assaut  d’un Mickey devenu Melmoth, “monarque invisible et serviteur  du Rongeur tout-puissant”. »

FOCUS VIF

✨« Sabrina Calvo donne presque l’impression d’avoir créé ici une sorte de novlangue des “sans” et des parias, une langue du combat et non de la résignation. […] Il est question ici d’épuration sociale, mais aussi culturelle, où l’acte de résistance va consister à détruire les grands temples de la culture de masse. »

USBEK & RICA

✨ « C’est foisonnant. C’est bordélique. C’est lyrique à souhait. C’est entre Debord, Damasio et Villon. Et c’est d’autant plus recommandé que la plume de Sabrina Calvo insufflerait la niaque au plus dépressif des pélicans mazoutés. »

CQFD

✨ « Melmoth furieux se lit d’une traite, les paragraphes s’enchaînant comme une tempête furieuse. Sabrina Calvo prouve ainsi que la fureur – celle qui réclame de la liberté, celle de créer, d’aimer, d’être – n’a rien à voir avec la haine. L’autrice nous présente la révolte comme un cri poétique, la fureur de la liberté tel un désir ardent. La révolte paraît alors irrépressible au sens le plus littéral, aucune armée ne pouvant assiéger l’imagination, ni ne pouvant étouffer une tendresse sincère. »

NUMÉRAMA

✨ « L’autrice invente le futur à partir du présent et de l’ici, si elle cherche à décrire un futur désirable, “libre”, un “possible-impossible” au sens de Henri Lefebvre son geste est l’inverse du geste utopique : la situation politique futur imaginée n’est pas sans lieu, elle est au contraire installée dans un territoire réel, vécu comme tel, et en perpétuelle évolution : Belleville. »

LUNDI MATIN

✨ « Au fil de la révolte de son héroïne, Melmoth furieux chante la créativité, y compris dans ses accrocs et ses excès, selon une langue bâtarde, gouailleuse et inquiète, souple et parfois abrupte, pour conter l’invention d’une société hors des autoroutes de l’imaginaire. »

MEDIAPART

✨ « [Fi] et ses ciseaux, qui réparent les vivants autant qu’ils arrangent les étoffes, sont porteurs d’une imagination subversive : joie du collectif, haine du capitalisme, envie de lendemains qui chantent, douceur de l’utopie, et volonté d’en découdre avec les patrons. »

TÉLÉRAMA

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COUPS DE ❤️ DES LIBRAIRES

❤️ « C’est un livre complètement fou qui ne ressemble à rien d’autre ; qui est punk, qui est politique, qui est classé en SF mais c’est plutôt de la littérature de l’imaginaire. […] Une écriture dans laquelle il y a beaucoup de force, de sentiment, de colère, d’amour… »

– Léanne, libraire du rayon SF de la librairie Ombres Blanches

❤️ « Je suis d’autant plus touchée par la volonté de composer des lueurs d’espoir, ou du moins de résistance alors que plus grand chose ne sépare notre monde d’une dystopie. Le genre de lecture et un recours à l’imaginaire qui font du bien. »

– Mathilde, libraire de l’Hydre aux mille têtes

❤️ « Révolution, couture et souris noire !

Avec ce nouveau roman coup de poing, Sabrina Calvo nous entraîne dans une dystopie écorchée, (re)cousue de rêves torturés, d’espoir et de liberté. Au côté de Fi et des mômes de la « Commune », criez vos rages de vivre, de créer, d’aimer, d’exister entièrement. C’est furieux, c’est rageux, c’est poétique, c’est actuel ! »

– Anaïs, FNAC Montparnasse, Paris

❤️ « Vive la Commune, mais pas celle de 1871. Zone de résistance, Belleville est le personnage central de cette dystopie rageuse et poétique, carnavalesque et hallucinée parfois (Mickey n’est pas loin). On y croisera des lieux familiers et protagonistes attachants, tels Fi et Villon qui tâtonnent, expérimentent pour tenter de s’extraire de la noirceur de leur époque. Un manifeste pour la mobilisation des affects et des corps, ces objets si politiques ! »

– Pierre, Le Monte-en-l’Air, Paris

❤️ « Brûlons la queue du Mickey !
Et si la Commune de Paris n’en avait pas fini de faire souffler son vent de révolution ?
Ni hommage ni simple transposition, Melmoth furieux est tissé de luttes collectives, de quête personnelle, de fantômes du passé et de saine colère.
Sans jamais perdre de vue sa trame, Sabrina s’autorise tous les débordements et explore les nombreux motifs poétiques et politiques que son monde lui offre. Son écriture élastique se révèle surjeteuse survitaminée et machine à sensations fortes. Comme un pavé haute couture dans la face d’une société de plus en plus autoritaire.
La grande classe ! »

– L’Esprit Livre, Lyon

❤️ « OH MELMOTH // Le quatrième grand coup de love de cette rentrée littéraire, c’est lui ! MELMOTH FURIEUX de SABRINA CALVO,

Un roman totalement dingue. Dingue d’être aussi perturbant, de réussir à nous plonger dans une réalité hors réalité, entre dystopie et tirage de cartes. Le destin de l’humanité entre les mains d’une femme endeuillée par la mort de son frère, qui veut tout simplement faire brûler Eurodisney. »

– Soazic, L’Affranchie, Lille

❤️ « La couture fait partie intégrante de la vie de Fi et de l’intrigue, et nous rappelle que rien n’est vraiment figé et que tout peut être rapiécé, rafistolé, réparé, reconstruit. La flanelle, le skai, le jersey et autres tissus multicolores que portent les habitants du quartier sont les seules touches de gaieté, d’espoir et de liberté dans cet univers en proie au système totalitaire.
Dans un style poétique et percutant, Sabrina Calvo nous dépeint un Belleville métamorphosé où vivent les oubliés et les enfants perdus, livrés à eux-mêmes…
Elle construit pour Fi un monde merveilleux, trash et malaisant comme Lewis Carroll l’a fait pour Alice. Les anglicismes et l’argot qui ponctuent le récit nous plongent dans une ambiance punk-rock : l’expression brute d’une population désœuvrée, révoltée et provocatrice.
Cette satire sociale cinglante est une œuvre militante et inclusive qui nous pousse à nous questionner sur des sujets profonds : l’identité, le genre et l’ordre établi. »

– La Croisée des Mondes, Paris

❤️ « J’ai particulièrement apprécié l’hypothèse selon laquelle le gouvernement acceptait la mise en place de zones autonomes et du coup une sorte de retour à une espèce de féodalisme éclaté. »

–  Aurélien, Le Rideau Rouge, Paris

❤️ « Un livre tranchant qui n’est pas fait pour plaire à tout le monde. Sabrina Calvo rentre bille politique et poétique en tête dans une Commune utopique revêtue d’habits de résistance, de colère et de joie. En cousant pour habiller ces communards du nouveau siècle, Fi tente de reprendre le fil de son existence, brisée au moment où son frère s’immola le jour de l’inauguration d’Eurodisney. Epopée transgenre révolutionnaire, ce Melmoth furieux ne laissera pas indifférent ! »

– Sophie, La Virevolte, Lyon

❤️ « Melmoth furieux c’est l’histoire de Fi et des mômes qui l’entourent, de son frère immolé et de Disneyland qui devrait l’être. C’est une lutte, un soulèvement face à l’uniformisation, face à la mort de l’imagination, face à la haine et l’obscurantisme. »

– Benjamin Spohr, Librairie Sauramps, Montpellier

❤️ « En pleine nouvelle Commune, Fi veut aller brûler Eurodisney, là où son frère s’est immolé lors de l’inauguration. A travers ses rencontres et ses errances dans Belleville, elle veut comprendre. L’autrice avec sa plume unique et magnifique nous plonge dans un Paris chaotique où l’héroïne est en quête d’elle-même. »

– Christophe, FNAC Paris Saint-Lazare

❤️« Si vous deviez n’en garder qu’un ce serait celui-là. Sabrina Calvo met le feu à Eurodisney et à nos petits cœurs révoltés. Dans la commune de Belleville, une zad urbaine où l’imagination, la créativité, la fluidité et l’amour sont les maîtres mots, les êtres se battent contre un monde hypercapitalisé et répréssif pour avoir le droit d’exister. Un roman ultrasensible ! »

– Julie, L’Embellie, La Bernerie-en-Retz

 

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