Le Premier souper, d’Alexander Dickow : la revue de prese

20 Mar 2022 | Actus

Avec Le Premier souper, Alexander Dickow propose un roman unique, plongeant des les entrailles de l’appétit insatiable de l’être humain : un besoin primaire, primitif, celui de la consommation. Un récit à la langue acérée, puissante, poétique. Qu’en disent la presse, les libraires, les lecteurs et lectrices ?

PRESSE

✨ « Un roman spectaculaire où la faim de l’homme est questionnée : que serions-nous si l’être n’était que dévoration, digestion et pénétration ? Une lecture sidérante. »

BIBLIOTECA

✨ « Il y a la science-fiction qui vous emmène gentiment dans une belle promenade et il y a la science-fiction qui, au lieu de vous prendre par la main, vous pousse au milieu du labyrinthe et vous laisser découvrir seule les chemins à prendre. Le Premier Souper est de ce calibre. »

LE 1 DES LIBRAIRES

✨ « Un fabuleux roman allégorique, complexe et élaboré, qui observe et malaxe avec ingéniosité et poésie un monde où la chair et l’idée s’entredévorent, parfois pactisent, où l’on est contraint de réfléchir à ces nourritures physiques et spirituelles qui vont déterminer nos façons d’interagir avec l’Autre et nos façons d’habiter le monde. »

USBEK & RICA

✨ « Ambitieux, surprenant par les images surréalistes déployées, les modes de narration et l’agencement du roman, Le Premier Souper est un bel exercice littéraire, doublé d’une réflexion politique et sociétale à plusieurs niveaux. »

GALAXIES

✨ « Roman âpre, parfois violent, Le Premier souper est une expérience basée sur la description de corps en train de se nourrir de bouffer d’ingérer. L’union de ces trois univers se fait autour de ce roman dans le roman qu’est Le Premier souper de Ronce Albène. »

ACTUSF

✨ « Il y a une appréhension de la science-fiction qui éclate à peu près tous les codes auxquels on est habitué. C’est une science-fiction qui est à la fois poétique, et simultanément noire et très lumineuse, traversée par un texte et un poète mystérieux qui existerait simultanément dans ces trois mondes. »

FRANCE CULTURE

✨ « Ce qui nous happe avant tout dans cette lecture, au-delà de ces corps démentiels, c’est la langue de l’écrivain, elle aussi sans limites, libre et déchaînée. On ne s’étonne pas qu’il cite Lautréamont et Rimbaud au début de son livre. Nous tenons bien là l’œuvre d’un poète et d’un créateur d’images. L’aspect fragmentaire pourrait sembler hermétique de prime abord, pourtant on tourne les pages comme si on lisait un thriller, tant les mots mettent en éveil notre imagination. Un premier livre plutôt appétissant, donc. »

OBSKÜRE


COUP DE ❤️ LIBRAIRE

❤️ AURÉLIEN, LIBRAIRIE LE RIDEAU ROUGE, PARIS

❤️ « En passant les règles alimentaires superlatives au régime décapant du récit épique et infiniment rusé de science-fiction, de la fête du langage qui s’y associe, tracer l’arbitraire des constructions, mythico-religieuses ou socio-politiques, en bien d’autres matières. Brillant et terrifiant. »

HUGUES, LIBRAIRIE CHARYBDE, PARIS


CHRONIQUES DES BLOGUEURS

🔥 « Oscillant entre plusieurs formes de l’Imaginaire auxquelles on pourrait encore adjoindre une sorte d’horreur aux échos lovecraftiens, Le Premier souper parcourt un spectre d’écriture pareillement nuancé. L’on passe ainsi d’une prose omnisciente à l’austérité relevée de saillies argotiques à une mosaïque d’archives chimériques mariant précision (para)documentaire et échappées hallucinatoires, parfois oniriques, le plus souvent cauchemardesque. »

L’ESPADON

🔥 « Le Premier souper évoque Rabelais, par son mélange de fantaisie et de philosophie, par la thématique de la nourriture, par son humanisme, mais aussi par son comique… Le roman d’Alexander Dickow enthousiasme par sa capacité à incarner des idées dans des êtres et des univers inattendus autant que par son invention et la finesse de son écriture. »

EN ATTENDANT NADEAU

🔥 « Il faut dévorer Le Premier souper pour en découvrir les personnages, tous finement croqués bien que chacun n’ait que peu de pages à se mettre sous la dent. Il faut le lire comme on mange avec les doigts pour en tirer la substantifique moelle. Il faut le lire pour profiter jusqu’à l’indigestion d’une écriture terriblement inventive, qui multiplie les styles et abreuvent e lecteur d’images aussi audacieuses que bien troussées, lui permettant ainsi d’entrer sans peine dans des mondes, au premier regard, aussi étrangers au sien qu’il est possible de l’être. »

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