Quand j’ai un doute sur un manuscrit, Léo Henry et luvan sont mes références, mes points de comparaison. J’ai l’impression de sentir ce qu’ils explorent en écriture, et je pense que la place de La Volte est exactement de leur fournir la possibilité de forer, d’exprimer ce qu’ils recherchent. Et c’est ma joie à moi. J’ai beaucoup de mal à décrire Hildegarde de Léo parce qu’on ne peut pas faire le tour de ce livre. Je crois qu’ils cherchent tous les deux ce qu’est raconter une histoire, lire une histoire, être auteur. Par le roman, la nouvelle, sans que ces questions soient formulées explicitement.
Extrait de l’entretien