Avec Le Paquebot immobile, Philippe Curval propose de monter à bord d’une utopie qui, rapidement, s’effrite pour laisser transparaître les failles d’une société étrangement proche de la nôtre.  

PRESSE

✨ « Sous une couverture superbe, réalisée par l’auteur lui-même, Le Paquebot immobile, avec son titre au parfum d’oxymore, nous invite naturellement au voyage. »

GALAXIES

✨ « Philippe Curval s’amuse beaucoup, distribuant coups de griffes et pensées bien senties, tout en poursuivant une réflexion sur l’utopie entamée voici bien des années et régulièrement réactualisée à partir des évolutions sociales et technologiques. »

BIFROST

✨ « C’est drôle, parfois cruel, et très bien écrit. Curval reste ce créateur déroutant et toujours juste dans sa perception de notre société, pleine d’ironie lucide. »

ACTUSF

✨ « Mais la question reste posée : un monde d’où seraient bannies toutes les tares de l’humanité serait-il vraiment vivable ? Philippe Curval y apporte ici une réponse amusée, mais non sans profondeur. »

COURRIER PICARD

✨ « Son dernier opus demeure en phase avec une œuvre marquée par la critique du fanatisme politique ou religieux et dessine les contours d’une utopie libertaire à la mesure d’un monde qui se délite. Passionnant comme un roman d’exploration façon Jules Verne, auquel l’auteur fait plus d’un clin d’œil, l’histoire se déroule sur une île-poubelle faite de plastiques agglomérés, véritable septième continent où des femmes et des hommes lassés des turpitudes du monde essaient de réinventer l’avenir. »

SUD OUEST DIMANCHE

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LIBRAIRES

💙 « Philippe Curval nous offre, avec Le Paquebot Immobile, un roman politique dans la lignée de 1984 ou V pour Vendetta. Dans tout le système, même lorsque celui-ci se veut utopique, des dérives apparaissent. Comment réparer les erreurs de parcourt ? Comment éviter les scissions et créer un objectif commun, quand on est adepte de la totale liberté pour chacun ? Peinture d’un matin qui se voulait unique et idéal, et dont les habitudes et le confort vont mener à une dictature de la conciliation. »

Séraphin, OCEP Librairie, Coutances.

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LES CHRONIQUES DES BLOGUEURS

🔥 « Comme une série télévisée à haute intensité, à rebondissements et à ellipses, le feuilleton d’une utopie improbable et hallucinée, fondée sur la mer de déchets plastiques solidifiés du Pacifique nord. »

CHARYBDE 27

🔥 « Philippe Curval traite du délitement d’une société idéale et de sa reconstruction à travers les aventures de Véra et de Gaon, mais aussi par le biais de multiples références littéraires, de la sotie médiévale à Jules Verne, en passant par la littérature du XVIIIème siècle. »

LES CHRONIQUES DU CHRONIQUEUR

🔥 « Un roman passionnant, étrange et intrigant. Un roman bourré d’idées […], d’espièglerie aussi et de face. Une réelle bouffée d’énergie, et de plaisir. »

FANTASTINET

🔥 « Le livre est riche. Il est construit, réfléchi, ample et vif. Le suspens ne nous lâche pas une seule seconde. Nous nous attachons aux personnages et les aimons en découvrant leur passé, leurs choix, leur détermination. Pas effet miroir, on porte sa propre réflexion sur les thèmes philosophiques, sociologiques, démographiques ou spirituels entrelacés dans l’histoire portée avec force précisions et une structure solide. »

KIMAMORI